FILM

Publié le par Sylvain Barré

                    Mes 10 Films préférés (sans ordre de preference c'est dejà dure d'en selectionner que 10 )

                           - Memory of murder         

En 1986, dans la province de Gyunggi, le corps d'une jeune femme violée puis assassinée est retrouvé dans la campagne. Deux mois plus tard, d'autres crimes similaires ont lieu. Dans un pays qui n'a jamais connu de telles atrocités, la rumeur d'actes commis par un serial killer grandit de jour en jour.
Une unité spéciale de la police est ainsi créée dans la région afin de trouver rapidement le coupable. Elle est placée sous les ordres d'un policier local et d'un détective spécialement envoyé de Séoul à sa demande. Devant l'absence de preuves concrètes, les deux hommes sombrent peu à peu dans le doute...

Les Inrockuptibles
 - Amélie Dubois
Barème AlloCiné* :
L'épaisseur du film, qui atteint la folle densité littéraire de certains polars, ne vire jamais à la lourdeur bouffone et indigeste, trop attachée qu'elle est à contenir le mystère insondable et glaçant, presque fantastique, de nuits noires, ruisselantes et inévitablement assassines.

Studio Magazine
 - Thierry Cheze
Barème AlloCiné* :
Une oeuvre riche et déroutante, principalement interprétée par trois acteurs à la palette de jeu impressionnante. Un film haletant, jusque dans ses ultimes secondes.

Le Monde
 - Jean-François Rauger
Barème AlloCiné* :
S'inspirant d'un fait divers de la fin des années 1980, le cinéaste Bong Joon-ho joue avec les codes du polar et réussit à inventer un récit étonnant qui mélange l'atroce et le burlesque.

                           - The machinist 

Trevor Reznik est ouvrier dans une usine. Un mיtier rיpיtitif, fatiguant, usant, au milieu d'un bruit assourdissant, oש la moindre inattention peut avoir des consיquences dramatiques. Une attention que Trevor a du mal א maintenir, car il est trטs fatiguי. En fait, Trevor n'a pas dormi depuis un an.
Il partage ses nuits entre la cafיtיria de l'aיroport, oש il retrouve Marie, la serveuse, et l'appartement de la prostituיe Stevie.
Depuis quelque temps, la vie de Trevor devient de plus en plus יtrange. Qui laisse des messages codיs dans son appartement ? Pourquoi Marie ressemble-t-elle tant א sa mטre ? Quant א Stevie, elle semble bien connaמtre le nouvel employי de l'usine, Ivan. Pourquoi ne lui a-t-elle rien dit ? Un homme d'ailleurs trטs יtrange, cet Ivan. Inquiיtant, dיrangeant, il semble surveiller sans cesse Trevor...

Studio Magazine
 - Michel Rebichon
Barème AlloCiné* :
Dès les premières images, où l'on découvre Christian Bale (...), on est hypnotisé, effrayé, fasciné. (...) Brad Anderson met en scène avec une esthétique et une sophistication efficaces ce thriller mental, digne de partager l'étagère où trônent les films de Hitchcock, Lynch, Fincher et Polanski.

Première
 - Mathieu Carratier
Barème AlloCiné* :
Thriller kafkaïen dont chaque image suinte et retourne l'estomac, le long-métrage de Brad Anderson est de ceux (...) qui vous collent au fauteuil avant de vous achever à l'aide d'un twist diabolique. L'exercice de la révélation finale en a perdu plus d'un (...). Celle-ci ne se contente pas de boucler la boucle : elle arrache le film au fantastique pour l'ancrer dans une réalité qui le rend encore plus impressionnant.

                                     - Le bon, la brute et le truand 

Pendant la Guerre de Sécession, trois hommes, préférant s'intéresser à leur profit personnel, se lancent à la recherche d'un coffre contenant 200 000 dollars en pièces d'or volés à l'armée sudiste. Tuco sait que le trésor se trouve dans un cimetière, tandis que Joe connaît le nom inscrit sur la pierre tombale qui sert de cache. Chacun a besoin de l'autre. Mais un troisième homme entre dans la course : Setenza, une brute qui n'hésite pas à massacrer femmes et enfants pour parvenir à ses fins.

Le Monde
 - Jean-François Rauger
Barème AlloCiné* :
Modèle d'intelligence, de virtuosité, d'humour et de violence baroque, Le Bon, la Brute et le Truand vient clore magistralement la fameuse "trilogie des dollars". Il est sans doute temps que l'on y reconnaisse un grand moment du cinéma moderne.

aVoir-aLire.com
 - Edgar Hourrière, Marianne Spozio
Barème AlloCiné* :
Leone a pulvérisé les codes du genre, avec son style à lui dont la grammaire baroque se décline à partir d'un attirail de règles immuables : plans-séquences étirés en longueur, immenses silences, utilisation du grand angle, zooms arrière et travellings à profusion, le tout soutenu par une musique lancinante, celle de son compère Ennio Morricone. C'est la révolution.

                                   - Se7en

Pour conclure sa carrière, l'inspecteur Somerset, vieux flic blase, tombe a sept jours de la retraite sur un criminel peu ordinaire. John Doe, c'est ainsi que se fait appeler l'assassin, a decidé de nettoyer la societé des maux qui la rongent en commettant sept meurtres bases sur les sept pechés capitaux: la gourmandise, l'avarice, la paresse, l'orgueil, la luxure, l'envie et la colère.

                                  - Fight Club 

Le narrateur, sans identité précise, vit seul, travaille seul, dort seul, mange seul ses plateaux-repas pour une personne comme beaucoup d'autres personnes seules qui connaissent la misère humaine, morale et sexuelle. C'est pourquoi il va devenir membre du Fight club, un lieu clandestin ou il va pouvoir retrouver sa virilité, l'échange et la communication. Ce club est dirigé par Tyler Durden, une sorte d'anarchiste entre gourou et philosophe qui prêche l'amour de son prochain.

Cplanète
 - Stéphane Dugast
Barème AlloCiné* :
Corrosif, incisif, résolument "fin de siècle", Fight Club est le film événement de cet automne Un film-culte en puissance.

Première
 - Jean-Yves Katelan
Barème AlloCiné* :
Fight Club est un film ouvertement homo. Fight Club n'a rien d'un film homo. Fight Club est un film facho. Fight Club est un film libertaire. Fight Club se termine mal. Fight Club se termine bien. Et, surtout, il débouche sur une impasse.

                                    - Edward aux mains d'argent 

Edward Scissorhands n'est pas un garcon ordinaire. Création d'un inventeur, il a recu un coeur pour aimer, un cerveau pour comprendre. Mais son concepteur est mort avant d'avoir pu terminer son oeuvre et Edward se retrouve avec des lames de métal et des instruments tranchants en guise de doigts.

                                   - Dark city 

Un matin, un homme se reveille dans une chambre d'hotel. John Murdoch decouvre qu'il est recherche pour une serie de meurtres sadiques. Cependant, il ne se souvient de rien. Traque par l'inspecteur Bumstead, il cherche a comprendre et part a la recherche de son identite. Il s'enfonce dans un labyrinthe mysterieux ou il croise des creatures douees de pouvoirs effrayants. Grace au docteur Schreber, Murdoch reussit a se rememorer son passe et la serie d'atroces assassinats dont il est le suspect numero un.

                                   - Shaun of the dead

À presque 30 ans, Shaun ne fait pas grand-chose de sa vie. Entre l'appart qu'il partage avec ses potes et le temps qu'il passe avec eux au pub, Liz, sa petite amie, n'a pas beaucoup de place. Elle qui voudrait que Shaun s'engage, ne supporte plus de le voir traîner. Excédée par ses vaines promesses et son incapacité à se consacrer un peu à leur couple, Liz décide de rompre. Shaun est décidé à tout réparer, et tant pis si les zombies déferlent sur Londres, tant pis si la ville devient un véritable enfer. Retranché dans son pub préféré, le temps est venu pour lui de montrer enfin de quoi il est capable...

Fluctuat.net
 - Laurence Reymond
Barème AlloCiné* :
Pour le spectateur friand de morts vivants, il y a une incroyable fraîcheur dans cette approche neuve et faussement naïve (...) La grande réussite du film tient ainsi au burlesque qui naît de la rencontre entre ce petit groupe purement "British" et ces revenants du film de genre.

Chronic'art.com
 - Guillaume Loison
Barème AlloCiné* :
Même virtuosité, enfin, dans l'action : jamais le film ne cède au n'importe quoi, toujours rigoureux formellement. (...) une des comédies les plus percutantes de l'année.

                                 - Astérix et Obélix : Mission Cléopatre

Cléopâtre, la reine d'Egypte, décide, pour défier l'Empereur romain Jules César, de construire en trois mois un palais somptueux en plein désert. Si elle y parvient, celui-ci devra concéder publiquement que le peuple égyptien est le plus grand de tous les peuples. Pour ce faire, Cléopâtre fait appel à Numérobis, un architecte d'avant-garde plein d'énergie. S'il réussit, elle le couvrira d'or. S'il échoue, elle le jettera aux crocodiles.
Celui-ci, conscient du défi à relever, cherche de l'aide auprès de son vieil ami Panoramix. Le druide fait le voyage en Egypte avec Astérix et Obélix. De son côté, Amonbofis, l'architecte officiel de Cléopâtre, jaloux que la reine ait choisi Numérobis pour construire le palais, va tout mettre en oeuvre pour faire échouer son concurrent.

Les Inrockuptibles
 - Bertrand Loutte
Barème AlloCiné* :
Contrairement à son prédécesseur dégéneré, Mission Cléopâtre est un film pour les grands et impropre à l'export: ni les gamins ni les Ricains ne sont en mesure de pleinement goûter à le profusion de gags qui s'ébrouent ici ou à l'intelligence qui les ordonne.

Télérama
 - Cécile Mury
Barème AlloCiné* :
Chabat a eu les moyens de tout oser, de la séquence de comédie musicale à la reproduction à l'identique de certaines vignettes. Savoureuse combinaison de grand spectacle "pharaonique" et de sketchs alertes et rapides hérités du petit écran (...).

                                   - Volte Face

Castor Troy, dangereux terroriste, est tombé dans le coma à la suite d'un affrontement avec Sean Archer, agent de la CIA. Grâce à une intervention chirurgicale, Archer prend le visage de Troy pour faire avouer au frère de ce dernier l'emplacement d'une bombe. Mais Troy sort du coma et prend à son tour le visage d'Archer.

Publié dans TOP TEN

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article